Voilà la première chose qui me passe par la tête lorsque l'on me demande (comme c'est arrivé dernièrement) d'expliquer la façon dont le cerveau d'une personne qui écrit des contes fonctionne. Evidemment, il n'y a pas de formule unique et évidemment, cela ne vaut que pour moi. J'aurais pu trouver des milliers d'autres façons d'aborder ce vaste sujet (vaste, ouioui), mais en retournant au travail après la pause-café de midi, j'ai croisé une occasion d'aborder la chose, ce que je vais donc faire brièvement. J'ai pris une photo rapide (gauche) de ce que j'avais en face de moi (un parking ô combien glamour) et me suis efforcée en un minimum de retouches avec le logiciel intégré à mon BlackBerry de la transformer (droite) en fonction de mon paysage intérieur du moment (terme fort pompeux et je m'en excuse, mais je n'ai pas de meilleure tournure qui me vienne à l'esprit). Juste avant la pause, je regardais du co...