Accéder au contenu principal

The Lady



Commentaires

  1. Il y a des empreintes de doigts sur la pellicule ...
    Je vais tenter d'alterner à meilleur profit mes commentaires ...
    ( Je n'arrive pas à recadrer l'endroit, dans le musée, où j'aurais pu lire ces mots en fait)
    Tout n'est pas commentable sera mon vrai commentaire.

    RépondreSupprimer
  2. Sur la rosace au sol qui nomme les tapisseries. Celle-ci correspond à la Dame au Licorneau :)

    RépondreSupprimer
  3. Ah ! Ce sont donc des emprunts, pas des empreintes ... <3
    C'est une tente ou une navette spatiale ? .... Je pars en thèses rapidement...
    Souvenir d’accolades récentes: Natsukashii !!! <3 encore.
    ( même pas remarqué la rosace ... Bagass me souviens bien ... :) )

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

The mirror crack'd from side to side

La Fabrique à Contes -II- Les Personnages (suite)

Gotcha! 3- La Fille de l'Empereur: (et ce n'est pas sans un puissant plaisir que j'ai écrit cette ligne!) Longtemps, j'ai rêvé d'elle les yeux ouverts et le crayon à la main. Elle a eu toutes les apparences possibles et imaginables, à chaque fois quelque chose clochait: trop de caractère, trop réservée, trop rock 'n' roll trop dix-neuvième, trop futuriste... Voyez plutôt: '(...) la Fille de l'Empereur aime prendre son bain à l'eau tiède, elle estime qu'un hibiscus est une plante vulgaire, elle aimerait Marguerite Yourcenar mais pas Virginia Woolf, mourrait de honte en espadrilles et d'ennui sous un ciel étoilé, elle se sent à l'aise dans un bustier mais pas en col roulé... ' Celle-ci me semble remplir les conditions: Reprenons le Squelette . Nous avons maintenant le trio principal de l'histoire incarné, crayonné et encré. Les figures masculines n'ont pas la même importance, justement parce que ce sont des figures: le père...

4 ans, 215 jours, 23 heures, 58 minutes et 9 secondes

Le 14 Septembre 2015, à 17h26. Les outils informatiques sont prodigieux en cela qu'il devient désormais presque toujours possible de dater à la minute près la plupart des événements marquants d'une vie. Je me souviens de cette minute de l'après-midi du 14 Septembre 2015 comme si elle venait de s'écouler. A la fenêtre de mon appartement du 20ème arrondissement, j'ai sorti mon smartphone, un BlackBerry Q10, pour prendre une seule photo du ciel. Cette photo-ci. Litha a grimpé sur mes genoux alors que j'étais en train de l'envoyer à la personne à laquelle elle était destinée, personne dont, je l'ignorais encore alors, le téléphone ne permettait pas de recevoir de MMS. Quelques heures plus tard, à 1h12 (nous avions basculé au 15 Septembre), je renvoyais ce même cliché à l'adresse mail palliative que j'avais reçue entre temps. Je me souviens exactement de ce que je ressentais, de ce que j'ai ressenti dans les moments qui ont précédé et ...